Afin de répondre au mieux à une crise sanitaire et à ses règles constamment mouvantes quant à l’accueil du public, le lieu unique invente, de septembre à décembre, Les Belles Retrouvailles. Ou une saison en entrée libre et taillée sur mesure pour la scène nationale.

Le Grand Cabaret

Avant de pousser la porte de ces Belles Retrouvailles, il est important de garder en tête que ce début de saison – forcément pas comme les autres – a été pensé par l’ensemble de l’équipe du lieu unique, à l’image de son projet dédié à la création très contemporaine et articulé autour de fondamentaux qui font sa force artistique depuis de nombreuses années : le lieu unique comme observatoire du monde et fabrique du futur.
Pour autant, Les Belles Retrouvailles offrent un nouveau regard sur la scène nationale. En effet, cette programmation s’installe exclusivement dans le Grand Atelier, totalement repensé en cabaret pour l’occasion.

Le monde dans tous ses états

Le temps d’un automne, le lieu unique vous invite à regarder, à interroger et à vivre le monde dans tous les sens.
Les Belles Retrouvailles valorisent les avant-gardes d’hier : Stephen O’Malley, musicien compagnon du lieu unique et tête pensante de la scène doom-metal, joue Alvin Lucier, compositeur américain de musique contemporaine (le 30 septembre), la chorégraphe et artiste associée Olivia Grandville rend hommage à Yves Klein, peintre visionnaire célèbre et judoka méconnu (les 2 et 3 octobre).
Le Belles Retrouvailles se conjuguent aussi au futur avec Spectrum (du 21 au 31 décembre), installation artistique invitant à vivre l’expérience de la couleur.
Enfin, cet automne 2020 se veut également terriblement ancré dans son époque à travers les questionnements soulevés par la pandémie. Dans cette perspective, le Nantais Guillaume Bariou dégaine Des balles qui se perdent (les 6 et 7 octobre), expérience performative, théâtrale et radiophonique sur fond de western postmoderne.

Les Belles retrouvailles

Les grands rendez-vous

Même si la singularité des Belles Retrouvailles est d’offrir dans un même espace une programmation invitant à la surprise, à l’inattendu, à la découverte, aux débats d’idées, le lieu unique renoue avec ses grands rendez-vous qui ont disparu des radars en raison de la crise sanitaire. Ainsi, Variations, festival de musiques pour piano et claviers, revient du 20 au 25 octobre. Et le 15 novembre, Un week-end singulier prend des allures de ballade en dehors des sentiers battus en compagnie de créateurs indisciplinés voyageant aux frontières de l’art.
Alors embarquez sans aucune réserve dans cette saison pas comme les autres et célébrez avec nous Les Belles Retrouvailles.

Le Lieu Unique
Quai Ferdinand-Favre
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